LA PATIENCE DU HERON CENDRE.
Il va, il vient, d'un côté puis de l'autre, avec une lenteur calculée, à la recherche d'une proie à sa convenance.
Puis, soudain, il se fige comme une statue de sel, le cou comme un ressort qu'il détend vers l'eau.
Il tient une proie à sa mesure et n'a pas l'intention de la lâcher.
Un crapaud peut faire l'affaire.