Le canard mandarin peut être observé à l'état sauvage en France où quelques individus échappés de captivité se sont acclimatés et s'y reproduisent aujourd'hui régulièrement.
Reconnaissable entre tous, le mâle se distingue par la forme et la couleur si particulière de ses ailes. Il perd ce plumage resplendissant après la période de reproduction, vers la fin du printemps, pour prendre une apparence plus proche de la femelle, à tel point qu'il peut être difficile de les différencier.
Cet oiseau mesure entre 41 et 49 centimètres de longueur pour une envergure allant de 65 à 75 centimètres. Le mâle pèse dans les 630 grammes et la femelle 570 grammes.
Voici un mâle isolé, présent parmi les colverts depuis longtemps.
Le Canard mandarin bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire.
Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu.
Le pinson des arbres adulte, d'environ 15 cm de long possède deux barres alaires blanches, assez significatives.
La queue est gris-ardoisé au centre, avec les rectrices blanches.
Le bec du pinson est gris-bleu en été et se brunit en hiver, et ses yeux sont marron foncé.
Ses pattes et ses doigts sont brun clair à gris foncé.
L'hiver, le plumage du pinson se ternit légèrement. Adulte, il pèse entre 20 et 25 g.
Ce petit passereau est migrateur et des vols très nombreux parcourent de grandes distances en période de migration.
On distingue très facilement le mâle de la femelle à la couleur du poitrail, orangé assez prononcé chez le mâle alors que celui de la femelle est beaucoup plus terne, avec le ventre blanchâtre et le dos brun-olive pâle.
Les motifs des ailes sont moins marqués et moins étendus.
Les photos que je vous présente sont celles d'une femelle.
Son bec, à la fois large à la base et pointu, traduit une adaptation alimentaire mixte de graines et d’invertébrés.
Les graines d’arbres les plus prisées sont celles de hêtres , d’érables , de bouleaux , d’aulnes et de résineux.
Les bourgeons, baies et fruits sauvages et cultivés ainsi que les graines des plantes herbacées et céréalières, surtout le colza, sont aussi consommés mais en période de reproduction le régime devient nettement insectivore à l'opposé de la majorité des passereaux.
Les pinsons des arbres capturent des insectes dans les branches et sur les feuilles, voire au cours de petits vols vifs et acrobatiques.
Le pinson des arbres préfére se nourrir sous les mangeoires que dedans.
On le trouve souvent sautillant sur le sol pour récupérer les graines tombées.
Lorsqu'il se déplace à terre, il marche à pas courts mais rapides.
Vous voyez ici une femelle tenant un grain de maïs dans son bec.
Le pinson des arbres bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire.
Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu.
Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l'acheter.
Depuis 2009, ces interdictions ne s'appliquent plus aux sujets nés et élevés en captivité.
Mais rien ni personne ne vous interdit de le photographier en liberté.
De la même taille que la mésange bleue, c'est un petit passereau au corps gris-brun présentant une calotte noire jusqu'à la nuque, une petite tache noire sous le bec et des joues blanchâtres.
Ses flancs sont dans les tons beige.
La Mésange nonnette est peu farouche, très curieuse et nous pouvons la voir assez souvent dans nos mangeoires en hiver où elle viendra prélever plusieurs graines à la fois pour les emporter dans de nombreuses cachettes.
Elle se crée ainsi des garde-manger pour les périodes de disette, cachettes dont elle oubliera l'emplacement dans la majorité des cas, pioche dans la nourriture des autres oiseaux qui utilisent des réserves et utilise sa propre expérience de voleuse pour camoufler ses garde-manger aux autres oiseaux.
Cette espèce est très intelligente.
Elle transmet son savoir aux autres individus et elle a été observée en Grande-Bretagne en train de décapsuler des canettes, se servant de son bec comme outil pour la première fois, c'est un signe d'intelligence.
Elle se nourrit dans la nature dans les niveaux inférieurs de la végétation.
Elle inspecte ainsi les arbres à la recherche d'insectes.
Elle se nourrit également, au niveau du sol, de graines ou de baies.
Il est très rare de réussir à faire monter ainsi les habitants d'une rivière avec du pain de mie.
C'est pourtant ce que j'ai fait sur les bords du Loir...Inutile de dire qu'elle est la richesse de ce cours d'eau pour qu'une telle population se rassemble.
Tout ce remue-ménage pour du pain de mie mais encore faut-il les voir !
Il suffit de placer de la nourriture à un endroit déterminé pour que les grands animaux, après une période d'observation, se rendent régulièrement sur place, la nuit le plus souvent.
Voici, tout d'abord, le système retenu: Une simple poubelle muni d'un ressort que les animaux doivent secouer pour s'approprier le maïs qui s'y trouve.
J'ai aussi planté, à proximité, des pieds de colza ou tout au moins, ce qu'il en reste après le passage des chevreuils
Ainsi que des betteraves sucrières sur lesquelles, après avoir dégusté les pousses, les animaux s'attaquent au corps.
Et l'on peut observer les traces de leur passage, restant bien entendu que, qui dit présence de nourriture, dit présence régulière et persistance des animaux.
Pour les dépister, il suffit de labourer la terre et l'on peut ainsi voir les empreintes parfaitement marquées dans le sol meuble.