Et dites-vous bien que c'est ce qui se passe en ce moment dans mes ruches ! C'EST MAGIQUE !
Et dites-vous bien aussi que tout ce travail m'attend à partir de la mi-août mais ce n'est que du bonheur !
Je rectifie tout de même une petite erreur de la vidéo ! EN AUCUN CAS l'apiculteur ne touche au miel qui se trouve dans la ruche. C'est la nourriture des abeilles pour l'hiver !
Il place sur la ruche une ruchette que l'on appelle "la hausse" et place à l'intérieur des "cadres de hausse".
Comme les abeilles produisent toujours plus qu'elles ne consomment, l'apiculteur ne prélèvera que le miel contenu dans la HAUSSE et seulement celui-là !
Selon une nouvelle étude française à paraître dans la revue Nature, la planète Vénus n'aurait jamais présenté les conditions atmosphériques nécessaires à la formation d'océans à sa surface.
On l’a longtemps considérée comme la jumelle de la Terre. Même période de naissance, seulement 40 millions de kilomètres de distance, une composition chimique semblable, un même terrain diversifié…
C’était sans compter sur sa température infernale à la surface : près de 470°C et une atmosphère à 95% composée de gaz carbonique.
Bref, des conditions insupportables pour le développement du vivant. Si différents travaux ont toutefois admis l’existence d’anciens océans, une nouvelle étude menée par des scientifiques du CNRS et de l’Université de Versailles Saint Quentin contredit cette hypothèse, tout simplement parce qu’il n’aurait en fait jamais plu sur Vénus.
Beaucoup plus proche du Soleil, Vénus reçoit aussi deux fois plus de rayonnements solaires, ce qui explique les températures démentielles enregistrées à sa surface.
Mais cela n’a pas toujours été le cas, puisqu’à sa naissance, il y a 4,5 milliards d’années, le Soleil était 30% moins lumineux, rappellent les chercheurs. Cette donnée aurait pu faire espérer une baisse de la température sur Vénus, qui aurait permis des pluies, et la formation d’un océan sur notre jumelle.
Or, selon leurs travaux, la température est restée très haute, compte tenu de l’absence de nuages pour la protéger des rayonnements lumineux sur son hémisphère atteint par le Soleil.
Des nuages provoquant un effet de serre sur Vénus
Ces nuages sont en fait largement présents du côté nocturne de Vénus, là où il sont inutiles pour protéger la planète du rayonnement solaire : « Au contraire, au lieu d’offrir une protection, ils ont contribué au maintien des températures élevées en provoquant un effet de serre piégeant la chaleur sous la dense atmosphère », précise le communiqué du CNRS.
Une telle chaleur aurait donc empêché la pluie et la formation d’océans sur Vénus.
Ces données devront être confirmées par les prochaines missions spatiales prévues sur notre planète voisine.
L’agence spatiale européenne a notamment annoncé le lancement de sa mission Envision à l’horizon 2030.
Elle doit permettre de comprendre pourquoi la Terre et Vénus, deux planètes pourtant si semblables, ont évolué différemment permettant à l’une le développement de la vie, et la rendant impossible sur l’autre.
Les habitants d’Atascocita ont certainement eu la frayeur de leur vie récemment !
Les rues de cette ville du Texas, située au nord de Houston, ont reçu la visite d’un imposant alligator.
Les autorités ont tout mis en œuvre pour que l’animal soit capturé sans encombre.
Une capture risquée
Croiser la route d’un alligator en rentrant chez soi ne doit pas être agréable. Et pourtant, c’est ce genre de rencontres que plusieurs habitants d’Atascocita ont faite, malgré eux, le 19 septembre dernier.
Selon la police, c’est un spécimen de 3,5 mètres qui s’est retrouvé dans les rues de la ville. Le reptile représentait un danger certain pour les habitants, donc. Mais au lieu de l’abattre,les autorités ont choisi de le maîtriser; une opération délicate, aussi bien pour les personnes en charge de la capture que pour l’animal.
Impressionnante, la capture a été filmée et partagée par Michael Schwab, qui a déclaré :
“C’était quelque chose à voir. Il se débattait. Il avait l'air fatigué(...)c'était probablement l'une des choses les plus folles que j'aie vues en matière d'animaux."
Comme l’alligator se débattait en tournant sur lui-même, les autorités ont dû l’attirer vers un coin d’herbe pour éviter qu’il ne se blesse.
Fort heureusement,l’animal a pu être capturé sans faire de victime ni de blessé.
Mais que faisait un alligator dans ces rues ? Selon des experts, le reptile était simplement à la recherche d’eau. Stefan Kulman, de l’Urban Jungle Wildlife Removal (une entreprise d’élimination de nuisibles) : “Nous empiétons sur leur habitat. Ils ont moins d'endroits où aller. De nouveaux logements se construisent, maisles alligators étaient déjà là et ils ne vont pas simplement partir…”
Un pêcheur de Floride a vécu un moment terrifiant lorsqu'il a été mordu par un requin alors qu'il pêchait depuis son bateau. Le requin, après avoir mordu l'individu, l'a entraîné dans l'eau.
🇺🇲A Florida fisherman experienced a terrifying moment when he was bitten by a shark while fishing from his boat. The shark, after biting the individual, dragged him into the water. Fortunatel...
Un documentaire intituléDauphins sous haute surveillanceest diffusé ce samedi 1er juillet 2023 à 20h45, sur Ushuaïa TV. Ils enquêtent sur un phénomène inquiétant : tous les hivers, plusieurs centaines de dauphins s’échouent, morts, sur la côte atlantique française. Pour quelle raison ? Y a-t-il des solutions ?
C'est cette espèce-là que traite le documentaire intituléDauphins sous haute surveillance, lequel est diffusé ce samedi 1er juillet 2023 à 20h45, sur Ushuaïa TV.
Il s'agit d'un spectacle désolant qui se reproduit chaque année, en février et mars, sur les plages de Loire-Atlantique, de Vendée et de Charente-Maritime..
Pour en finir avec ces morts par milliers
L’intensification, depuis sept ans, de la pêche dans le golfe de Gascogne et le nombre record de 1.067 échouages de petits cétacés relevé entre janvier et mars 2020 sur le littoral atlantique et en bord de Manche, impose de trouver des solutions.
Longtemps non retenus par les pêcheurs en raison de leur coût, les répulsifs sonores semblent devoir s'imposer.
Un programme a été mis en œuvre pour tester, sur trois ans, de nouveaux modèles plus efficaces, afin d’éloigner les dauphins.
La suppression des filets particulièrement dommageables est également envisagée mais nécessiterait d’emporter l’adhésion de l’Union européenne.
En attendant, le temps presse… Pour que pêcheurs respectueux de l’écosystème marin et espèces menacées continuent de coexister dans un équilibre économique et écologique rompu depuis trop longtemps.
Un documentaire intitulé Dauphins sous haute surveillance est diffusé ce samedi 1er juillet 2023 à 20h45, sur Ushuaïa TV.
Ils enquêtent sur un phénomène inquiétant : tous les hivers, plusieurs centaines de dauphins s’échouent, morts, sur la côte atlantique française.
Pour quelle raison ? Y a-t-il des solutions ?
Dans les mailles des filets
C’est au cœur de l’hiver, au moment où la pêche bat son plein, que ces dauphins dits "communs" sont pris dans les filets des chalutiers et meurent, asphyxiés et parfois mutilés, au milieu des bancs de poissons qu’ils pourchassent pour se nourrir.
L’association internationale de défense des océans Sea Shepherd a permis une prise de conscience du drame en diffusant des clichés des mammifères marins morts de "captures accidentelles".
Différents organismes se sont aussi mobilisés.
En 2017, un groupe de travail, composé de scientifiques, de représentants de l’État et de professionnels de la pêche rejoints par des ONG, s’est constitué pour examiner l’ampleur du problème et tenter d’y remédier.
Il a été relayé par l’observatoire Pelagis, situé à La Rochelle, dont les experts, analysant les dépouilles des dauphins victimes de coupures et d’hématomes, ont pu établir la responsabilité des bateaux et de leurs filets maillants.
Le réseau scientifique qui évalue le lien entre les événements météorologiques extrêmes et le dérèglement climatique, estime que ce dernier a joué un rôle dans les records de température en Europe et aux Etats-Unis.
Le changement climatique, causé par les émissions de gaz à effet de serre d'origine humaine, "a rendu les canicules plus chaudes, plus longues et plus fréquentes".
Vers des canicules encore plus intenses
Les récentes vagues de chaleur ne sont plus des évènements exceptionnels" et celles qui adviendront "seront encore plus intenses et plus courantes si les émissions ne sont pas réduites rapidement", concluent les chercheurs.
Car si des phénomènes naturels comme les anticyclones ou El Niño peuvent contribuer à déclencher ces canicules, "réchauffer les températures de la planète en brûlant des énergies fossiles est bien la raison majeure pour laquelle elles sont si graves".
Pour arriver à ces conclusions, les sept auteurs néerlandais, britanniques et américains de l'étude scientifique, se sont basés sur des données météorologiques historiques et des modèles climatiques afin de comparer le climat d'aujourd'hui et son réchauffement planétaire de 1,2 degré avec ce qu'il était autrefois.
Les résultats, produits en urgence, sont publiés sans passer par le long processus des revues à comité de lecture, mais combinent des méthodes approuvées par leurs pairs.
Un juillet caniculaire dans le monde
Les scientifiques se sont particulièrement penchés sur les périodes où la chaleur était "la plus dangereuse", soit du 12 au 18 juillet en Europe du sud, du 1er au 18 juillet dans l'ouest des Etats-Unis, au Texas et dans le nord du Mexique, et du 5 au 18 juillet dans le centre et l'est de la Chine.
Ils ont rappelé que le réchauffement planétaire aggravait l'intensité des températures : avec lui, les canicules en Europe sont 2,5 °C plus chaudes, celles en Amérique du nord augmentent de 2 °C et celles en Chine de 1 °C.
Juillet 2023 est "en passe de devenir le mois de juillet le plus chaud jamais mesuré", selon la Nasa et l'observatoire européen Copernicus.
"Dans le passé, de tels évènements auraient été aberrants. Mais dans le climat d'aujourd'hui, ils peuvent maintenant se reproduire approximativement tous les 15ans en Amérique du nord, tous les 10ans en Europe du sud et tous les 5ans en Chine".
Les canicules deviendront encore plus fréquentes et surviendront tous les deux à cinq ans" si le réchauffement climatique atteint les 2 degrés, "ce qui pourrait arriver dans une trentaine d'années, à moins que tous les pays signataires de l'Accord de Paris ne mettent pleinement en œuvre leurs engagements actuels de réduire rapidement leurs émissions".
D'un point de vue scientifique, cela confirme ce que nous avions prévu.
Mais ce que nous n'avions pas prévu, c'est à quel point nous sommes vulnérables face aux effets du réchauffement climatique.
Car cela tue des gens".
Pourtant, "ces vagues de chaleur ne sont pas la preuve d'un "emballement du réchauffement" ou d'un "effondrement du climat". Nous avons encore le temps";d'inverser les choses.
"Il est urgent d'arrêter la combustion des énergies fossiles et de travailler à réduire nos vulnérabilités. Si nous ne le faisons pas, des dizaines de milliers de personnes continueront à mourir",
Il s'agit de la première exoplanète dont l'éclat est comparable à celui de Vénus, l'objet le plus brillant de notre ciel nocturne à l'exception de la Lune.
Un monde brûlant où des nuages métalliques font pleuvoir des gouttes de titane, qui agissent "comme un miroir": la plus brillante des planètes jamais détectée en dehors de notre système solaire a dévoilé son visage aux astronomes, selon une étude publiée ce lundi.
Cette étrange exoplanète, située à plus de 260 années-lumière de la Terre, réfléchit 80% de la lumière de son étoile hôte, selon les nouvelles observations du télescope spatial européen Cheops (CHaracterising ExOPlanet Satellite).
Découverte en 2020, cette planète de la taille de Neptune, appelée LTT9779b, tourne autour de son étoile en seulement 19 heures.
La lave "orange pure comme le soleil" attire les visiteurs en Islande.
De grandes coulées de laves s'échappent de failles longues de près d'un kilomètre
Malgré les appels des autorités à éviter de se rendre sur le site de la nouvelle éruption en Islande au sud-ouest de Reykjavik, les premiers intrépides n'ont pu résister à l'appel du magma "orange pur comme le soleil".
Le projet de construction d’une deuxième ligne de tram à Brest pourrait être retardé en raison de la présence d’une espèce de gastéropode protégée sur le lieu du chantier du pont.
Entre retombées économiques et environnementales, la métropole hésite.
Un escargot qui en fait baver à la municipalité.
La construction de la deuxième ligne de tram àBrestest confrontée à un nouvel obstacle inattendu : la présence de l'escargot de Quimper.
Le conseil national de la protection de la nature a émis un avis négatif pour le lancement du projet à cause de la présence de ce gastéropode protégé sur le site censé accueillir le deuxième pont parallèle au pont Robert-Schuman.
Consciente de la nécessité depréserver la biodiversité, mais ne voulant pas abandonner le projet, la métropole de Brest cherche des solutions pour déplacer l'escargot.
Or, déplacer une espèce protégée ne serait pas plus légal que la détruire, rétorque auprès de nos confrères l'avocat Alan Saout, spécialiste du droit de l'environnement.
“C’est du pareil au même”, assène-t-il.
Car si la décision finale revient au préfet, qui peut délivrer une dérogation pour permettre la destruction de l'escargot, elle ouvrira même une période de deux mois durant laquelle quiconque pourra saisir le juge administratif.
“S’il ne la donne pas, Brest Métropole Aménagement ne manquera pas de contester devant le même juge le refus préfectoral.”
Quel que soit l'arbitrage du préfet, le projet risque d'être retardé, entraînant de fait une augmentation des coûts.
Un simple jeu sur Instagram a relancé le débat qui agite les Bretons et les Normands :
Où se trouve le Mont-Saint-Michel ?
En Bretagne ou en Normandie ?
Et cela malgré le dicton "Le Couesnon dans sa folie a mis le Mont en Normandie"
Depuis des années,l’appartenance du Mont-Saint-Michel fait l’objet d'une querelle entre les Bretons et les Normands.
S’il est situé dans le département de la Manche (en Normandie, donc) son emplacement, tout près de la frontière avec la Bretagne voisine,fait dire à certains que l’île très fréquentée par les touristes serait plutôt bretonne.
Même si le Mont-Saint-Michel a été breton entre 867 et 933,il est bel et bien rattaché administrativement et géographiquement à la Normandie.
Mais le Conseil de l'Europe a, malgré lui, remis cette querelle au goût du jour !
Mercredi 27 juillet dernier, les sapeurs pompiers du Var ont alerté les baigneurs sur la présence d'un requin bleu d'environ deux mètres aux abords des côtes du département.
Trois jours plus tard, l'animal a été retrouvé mort.
"Requin peau bleu observé ce matin près de la plage de l’Almanarre à Hyères.
Pas de danger pour l’homme mais les pompiers déconseillent de s’en approcher.
La baignade reste ouverte", indique sur Twitter Tom Becques, correspondant de BFMTV, en légende d'une vidéo filmée par une personne en paddle, montrant le squale en train de nager à seulement quelques mètres de la terre ferme.
Le requin se situait alors au large de la plage de Port Hélène, entre Pomponiana et San Salvadour. Les pompiers ont effectué une reconnaissance dans la zone, dont ils ont assuré une surveillance étroite pour le reste de la journée.
Malheureusement, trois jours plus tard, l'animal a été retrouvé mort, d'après les informations de France 3.
C'est sur les rochers du bord de mer de la commune varoise que la dépouille du requin a été prise en charge par les services municipaux.
Le plus haut sommet du monde risque de perdre de la hauteur.
L'Himalaya pourrait perdre jusqu'à 80 % de son volume d'ici la fin du siècle, entraînant des conséquences importantes pour des millions de personnes, dans les pires scénarios, ont alerté des scientifiques internationaux.
Ces travaux, publiés mardi 13 juin, par le Centre international pour le développement intégré des montagnes (ICIMOD), portent sur l'impact du changement climatique sur une zone s'étendant sur 4,1 millions de kilomètres carrés de l'ouest de l'Afghanistan à l'est du Myanmar.
Le rapport révèle que les glaciers de la région montagneuse de l'Hindou Kouch et de l'Himalaya ont fondu 65 % plus vite dans les années 2010 par rapport à la décennie précédente, suggérant que la hausse des températures a déjà un impact.
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La glace et la neige dans la région alimentent 12 rivières qui fournissent de l'eau douce à deux milliards de personnes dans 16 pays, dont la Chine, l'Inde et le Pakistan. Les scientifiques craignent que le manque d'eau dans les prochaines décennies ait un impact dramatique sur ces populations.
Un rapport de 2019 révélait que même dans le cas le plus optimiste, où l'économie-politique révèle que la région perdrait au moins un tiers de ses glaciers.
Un drone filme un groupe d'orques en train de dévorer un grand requin blanc en Afrique du Sud.
Une incroyable vidéo diffusée dans le cadre de la Shark Week de Discovery Channel nous montre un groupe d'orques chasser et tuer un grand requin blanc au large de la côte sud-africaine.
Dans la séquence en question, que vous pouvez découvrir, on voit un groupe de trois orquesencercler puis dévorer consciencieusement un grand requin blancd'environ 2,5 mètres de long, qui apparaît sans défense face à ses assaillants semblant se servir sur ses flancs comme dans un buffet à volonté.
Les 40 moutons retrouvés dimanche soir, entassés dans un logement social du quartier sensible des Liserons, à l’est de Nice, vont être pris en charge par une fondation, annonce une porte-parole de la préfecture des Alpes-Maritimes.
Ils seront répartis dans divers élevages une fois les formalités pénales et sanitaires réalisées! indiquent encore les services de l’Etat. En attendant ces procédures dont la durée n’a pas été précisée, les bêtes « ont été transportées vers un centre de rassemblement dans les Bouches-du-Rhône ».
« Tous au pré où ils vivront sans menace ni danger »
La solution finalement choisie est celle que défendait un conseiller municipal de Nice, récemment déchu de sa délégation à la protection animale.
Les moutons ne doivent pas être remis à des éleveurs, ce qui égale le chemin de l’abattoir, du boucher ou du sacrifice, mais confiés à une fondation qui les placera tous au pré où ils vivront sans menace ni danger jusqu’à la fin de leur vie.
Alors qu’elles faisaient du kayak, deux femmes ont été surprises par l’irruption d’une baleine à bosse.
Cette dernière cherchait simplement à se nourrir en avalant les poissons qui se trouvaient sur son chemin.
À la fin de l’année 2020, tandis qu’elles faisaient du kayak à Avila Beach, au nord-ouest de Los Angeles, ces deux kayakistes ont certainement eu la frayeur de leur vie !
En effet, tout porte à croire que plusieurs vidéos montrent leurs derniers instants, tandis qu’une baline à bosse surgit la gueule ouverte.
Publiée sur Facebook, l’une de ces vidéos, prétendant que les femmes ont été avalées, est devenue virale.
Sauf qu’en dépit des apparences, les femmes ont bel et bien survécu à cette “attaque”.
À la vue de ce post, il faut dire que le doute est permis.
La baleine a bien émergé près de kayakistes… toutefois, les deux femmes n’ont pas été gobées.
Plus précisément, leur kayak a été renversé et elles ont été soulevées par la vague mais elles sont tout simplement tombées près de la baleine.
Toutes ces vidéos n’en restent pas moins très impressionnantes et nous rappellent que les baleines sont des forces de la nature.
Des forces de la nature qui, heureusement, n’ont pas pour habitude de se nourrir d’êtres humains.
Here is another angle of the whale breaching with the kayak seemingly in its mouth. The woman who took this video tells me she was filming the whale in the distance and next she knew, the whale ...
Trois mâles et trois femelles, au pelage gris foncé et aux larges moustaches, ont fait l'objet de radios et d'autopsies, confirmant qu'ils ont été poignardés, vraisemblablement en mer.
Six otaries indigènes d'Afrique australe ont été mystérieusement "poignardées", se sont noyées puis échouées sur une plage de la péninsule du Cap, a annoncé ce jeudi la municipalité, dénonçant ce "terrible rappel de l'impact de l'homme sur la faune côtière".
Il y a sans doute une raison ! Reste à savoir si elle est recevable !
Les otaries à fourrure du Cap, mesurant autour de deux mètres pour un poids généralement situé entre 200 et 300 kg, vivent en colonie et s'éloignent rarement du rivage.
Consommant beaucoup de poissons pour leur subsistance, elles sont mal vues des pêcheurs qui parfois les braconnent pour en réduire le nombre.
Décidément, l'appât du gain ferait faire n'importe quoi à n'importe quel humain qui sait pourtant bien que ces animaux, même mangeurs de poissons, sont indispensables à l'équilibre écologique.
Un immense fossile de Titanosaure, le plus grand dinosaure au monde, découvert en Argentine.
En Argentine, une équipe de paléontologues locaux ont fait une incroyable découverte. Ces derniers ont trouvé plusieurs ossements fossiliés d’un immense sauropode appartenaut au groupe des Titanosaures, les plus grands dinosaures jamais retrouvés.
Ce n'est pas tous les jours que les paléontologues font une découverte aussi impressionnante ! En Argentine, une équipe de chercheurs ont en effet trouvé plusieurs ossements gigantesques (c’est le cas de le dire) de Titanosaure, le plus grand dinosaure ayant foulé notre terre.
Des os lourds et massifs
En effet, si l’on imagine que le métier de chercheurs de fossiles préhistoriques consiste à trouver des crânes de Tyrannosaure tous les quatre matins, c’est malheureusement loin d’être le cas. La plupart du temps, ces derniers analysent et dépoussièrent de tous petits ossements, en espérant un jour tomber sur la perle rare.
Pour autant, voici qu’est sorti de terre, un véritable trésor de paléontologie. Entre autres, un fémur de presque deux mètres de long et plusieurs autres fossiles tellement grands et lourds qu'ils ont provoqué un accident de la circulation lors du transport des os.
Fernando Novas, paléontologue et auteur principal de l’étude abonde :
"le poids a déstabilisé le véhicule et provoqué un accident",
témoigne-t-il dans les colonnes du média "Live Science".
L'un des 16 "volcans de la décennie" est entré en éruption, recouvrant les villes se trouvant aux alentours de cendres et entraînant la fermeture de l'aéroport local.
L'Etna est le volcan le plus actif d'Europe. Il est situé à Catane, une ville de l'île de Sicile, en Italie.
C'est également le volcan actif le plus élevé d'Europe, avec une altitude maximale d'environ 3320 mètres.
Le volcan est entré en éruption ce dimanche 21 mai, projetant des cendres sur Catane, selon l'Institut national italien de géophysique et de volcanologie.
Les cendres volcaniques recouvrent Catane
Les habitants des villes d'Adrano et de Biancavilla ont déclaré avoir entendu de fortes détonations provenant du volcan dimanche, comme l'a rapporté l'agence de presse italienne ANSA.
Les photos et les vidéos diffusées par les médias italiens montrent un nuage à l'allure de smog recouvrant les rues et des cendres sombres et granuleuses recouvrant les maisons et les voitures des habitants.
Des cendres ont également recouvert les pistes de l'aéroport de Catane, suspendant temporairement les vols à destination et en provenance de cette destination touristique populaire jusqu'à ce que des conditions de sécurité normales puissent être garanties.
Je vous présente le plus gros organisme végétal du monde, une forêt composée d’un seul et même réseau racinaire.
C’est une forêt unique à bien des égards.
Considéré comme l’organisme vivant le plus massif et le plus gros au monde, Pando, est une colonie d’arbres appelés "FAUX TREMBLES".
Situés en Amérique du nord, dans l'UTAH, ces arbres n'ont qu'une seule et même racine qui se déploie sur 43 hectares.-
Pando est le plus gros organisme vivant du monde
Généralement, les faux trembles se restreignent sur une zone de 0,04 hectare mais celui-ci a battu tous les records.
On le considère comme l’espèce vivante la plus grande au monde car elle n’est en fait qu’un seul et même organisme.
Pando, qui signifie "je m'étends" en latincompte 47.000 peupliers faux trembles mais n’est en fait qu’un seul et même arbre.
Mais ce qui est encore plus surprenant est que cette forêt émet un son dénommé "CRI DE PANDO"
Le vent, converti en vibrations, parcourt tout le système racinaire, ce qui pourrait également révéler le fonctionnement interne du vaste système hydraulique caché de Pando.
Jeff Rice, un artiste, a placé un hydrophone dans un petit trou situé à la base d’une des branches de l’arbre et a fait suivre le fil du câble jusqu’aux racines.
"Les hydrophones n'ont pas seulement besoin d'eau pour fonctionner", explique Jeff Rice dans un communiqué.
"Ils peuvent également capter les vibrations de surface telles que les racines, et, lorsque j'ai mis mes écouteurs, j'ai été immédiatement surpris. Il se passait quelque chose. Il y avait un léger son".
Lorsqu'un orage a éclaté, le son grave s'est accentué.
Ce qui, en fait, est percu ce sont les vibrations des millions de feuilles qui font à leur tour vibrer l’ensemble de l’arbre jusqu’aux racines.
Les scientifiques à l’origine de cette troublante découverte l’ont eux-mêmes qualifiée de "fascinante".
Le fou de Bassan, une espèce d’oiseaux de mer de la famille des sulidés, n’a pas fini de nous surprendre.
Récemment, des chercheurs appartenant à plusieurs organisations ont mis en évidence le fait que les volatiles de cette espèce qui survivent à la grippe aviaire voient la couleur de leurs iris évoluer… passant du bleu au noir !
Les scientifiques ayant pris part à cette étude ont jugé qu’une telle découverte pourrait, à l’avenir, les aider à mieux comprendre d’autres espèces, détaille un journal canadien , dans un article publié jeudi 4 mai.
Si vous tombez nez à nez avec cette araignée qui commence à arriver en France, n'ayez pas peur.
Malgré les apparences, elle pourrait vous être d'une grande aide.
"L'araignée Gipsy monte à la gouttière". Ces paroles d'une célèbre comptine pour enfants pourraient être remplacées par "l'araignée Nosferatu monte à la gouttière".
En effet, Nosferatu est une espèce d'araignées plutôt inquiétante qui débarque en France et qui pourrait donc monter le long de vos maisons très bientôt, si ce n'est pas déjà le cas.
Est-elle vraiment dangereuse ?
Mais que se cache derrière ce gros insecte au nom digne d'un Pokémon ? Son nom savant est la "zoropsis spinamana".
Son corps peut mesurer jusqu'à 1,5 centimètre, ses pattes peuvent être longues de 8 centimètres.
De quoi en effrayer plus d'un ! Et vous pourriez bien être confrontés à elle puisqu'après avoir envahi l'Allemagne et la Suisse, elle est arrivée en France il y a quelques mois maintenant.
Elle est ainsi arrivée dpuis la Méditerrannée, avant de remonter vers le nord. On pourrait la trouver jusqu'en Bretagne !
Les arachnophobes sont en sueur !
Mais celle qui est également surnommée "araignée vampire" est-elle vraiment dangereuse ? Et bien la réponse est... NON !
Elles vous aideront !
Si sa forme particulière peut effrayer en France, il n'en est rien.
Et pour cause, la Nosferatu est totalement inoffensive.
Elle n'attaque que lorsqu'elle se trouve en danger. Et même mieux, elle peut même vous être utile, un peu comme le sont les gendarmes pour vos jardins.
En effet, la Nosferatu mange les insectes qui se nichent dans vos maisons, elle est plutôt du genre discret et pour couronner le tout... elle ne tisse pas de toile.
Avec elle, pas besoin de sortir l'aspirateur ou la tête de loup pour nettoyer les recoins inaccessibles de votre habitation.
Mais cela n'empêche pas que lorsque vous la verrez pour la première fois, vous risquez d'être surpris.
Afin de survivre dans le désert, un insecte a développé une manière très particulière de conserver l’eau de son corps.
Lorsque l’environnement est aride, la moindre goutte d’eau doit être précieusement conservée et les coléoptères l’ont bien compris.
Dans une étude, publiée dans la revue scientifique PNAS, des chercheurs se sont penchés sur la technique employée par un insecte pour optimiser ses réserves d’eau.
Recycler l’eau par le rectum
Ce coléoptère, c’est le Tribolium castaneum, dont les larves sont surnommées “vers de farine”.
Malgré leur aspect franchement peu accort (on ne les listerait pas dans notre Top 10 des créatures les plus mignonnes de la Terre), ces vers sont des véritables génies du recyclage.
On distingue deux variétés très voisines du boletus edulis, plus communément appelé cèpe et recherché avec ferveur tant il est agréable dans l'assiette.
Beaucoup de chercheurs ne font pas la différence entre ces deux espèces très proches que sont le cèpe d'été et le cèpe d'automne.
Le cèpe d'été, boletus edulis, peut pousser lors de périodes sèches et chaudes et c'est une énorme surprise d'en trouver parfois, d'autant qu'ils ne sont pas recherchés.
Le cèpe d'été se caractérise par un chapeau très foncé dont la couleur est uniforme.
Le cèpe d'automne, boletus edulis également, pousse davantage pendant les périodes pluvieuses car son mycelium a besoin d'humidité.
Ainsi, cette année, peu prolifique en cèpes, on a trouvé conjointement des cèpes d'été et des cèpes d'automne mais je répète qu'il s'agit de la même espèce.
Le chapeau du cèpe d'automne est plus clair et sa couleur est décurrente en allant vers le bord. Le pied est identique.
Mais cette année, un record a été battu.
En effet, en Gironde, un jeune chercheur a trouvé un cèpe pesant la bagatelle de 4 KG...Oui, vous avez bien lu...4 Kg !
Dites-moi, avec un tel monstre, il y a de quoi faire pas mal d'omelettes !