Période de migration d'automne au lac du Der où l'on peut voir des milliers de grues cendrées séjourner quelques temps avant de reprendre leur long périple vers le sud.
Je ne pourrai, certes, pas me réjouir comme les autres années.
Mais les milliers d'oiseaux passeront tout de même et je vous recommande ces instants de bonheur et d'excitation lorsqu'on les entend arriver à 4 kilomètres de distance.
Pour cela, contactez Antoine qui vous guidera en des lieux que lui seul connait et vous pouvez être assurés qu'après cette expérience, une passion naîtra qui vous poussera, chaque année, à partager cet inoubliable spectacle.
Ce Bécasseau tacheté, observé le jeudi 25 septembre 2014 par Antoine CUBAIXO, guide ornithologique mais surtout guide passionné, est "l'oiseau rare" du mois de septembre.
L'observation de cette espèce, originaire du Nord-est de la Sibérie et d'Amérique du Nord, est exceptionnelle sur le Lac.
Ma dernière rencontre avec ce petit limicole au Lac du Der, qui rappelle par son allure une femelle de Combattant varié, remonte au 16/09/2011.
Ce sont principalement des jeunes qui sont observés en dehors de leurs voies traditionnelles de migration et surtout durant le mois de septembre.
J'ai pu entendre pour la première fois sur le site des appels émis à plusieurs reprises en vol.
Pour la petite histoire, les bécasseaux tachetés pratiquent la polygamie, les mâles peuvent s'accoupler avec plusieurs femelles et vice versa...
Antoine CUBAIXO
Le Bécasseau à poitrine cendrée ou Bécasseau tacheté est une espèce de limicole assez petit appartenant à la famille des scolopacidae et à la sous-famille des calidridinae.
Il niche dans les régions les plus septentrionales de l'Asie et de l'Amérique du Nord.
Il hiverne en Océanie et en Amérique du Sud et est très occasionnel en France.
Les pesticides tuent des millions d'abeilles et mettent en péril la chaîne alimentaire. La Maison Blanche vient de mettre en place un groupe de travail sur ce problème. Saisissons cette chance! ...
Des milliards d’abeilles disparaissent en silence et c’est toute la chaîne alimentaire qui est en danger.
Les abeilles ne produisent pas seulement du miel: elles sont une grande force de travail invisible qui pollinise 75% des plantes que nous cultivons.
Dans cinq jours, les États-Unis pourraient faire un pas crucial vers l'interdiction de ces pesticides toxiques qui sont en train de les tuer.
Nous savons que nous pouvons obtenir l’interdiction de ces produits.
Après une énorme campagne d’Avaaz l’an dernier, l’Union Européenne a interdit ce type de poison, accusé par de nombreux scientifiques d’être à l’origine de la disparition des abeilles.
En ce moment même, l’industrie chimique mène un lobbying acharné pour freiner le gouvernement américain.
Nos alliés disent pourtant qu’une pression massive de la part du public pourrait faire basculer l’équilibre des forces vers l'interdiction de ces pesticides.
Mettons-leur cette pression!
Si les États-Unis agissent, cela créera un effet domino qui entraînera d'autres pays à faire de même.
Il n’y a pas de temps à perdre.
Le groupe de travail sur les abeilles de la Maison Blanche annoncera ses propositions mardi prochain.
Il ne s’agit pas seulement de sauver les abeilles, mais aussi de notre survie.
Construisons ensemble un énorme buzz pour appeler les Etats-Unis à mettre ces tueurs chimiques hors-la-loi, avant que les abeilles ne disparaissent et que les ruches mortes ne s'amassent dans leurs cimetières.
les abeilles disparaissent par millions en France et dans le reste de l'Europe, aux États-Unis, en Asie et en Égypte au point qu'un nom a été donné à ce phénomène: le syndrome d’effondrement.
Si cette disparition inquiète, c’est que ces insectes jouent un rôle essentiel en contribuant à la survie des espèces végétales depuis la nuit des temps.
Elles pollinisent 40% des plantes cultivées.
SOURCE INRA:
84% des espèces cultivées en Europe dépendent des pollinisateurs, dont 9 sur 10 sont des abeilles domestiques ou sauvages.
Le phénomène est d'une telle ampleur que les abeilles sont devenues le symbole de la lutte pour une biodiversité préservée,
Mais quelles sont les causes de cette mortalité ?
On avance plusieurs hypothèses sur cette disparition massive:
- Les virus, parasites et champignons qui se seraient propagés dans les essaims, provoquant l’hécatombe chez les abeilles du monde entier.
- Le frelon asiatique, insecte envahisseur considéré comme un véritable prédateur de nos abeilles.
- Les OGM pourraient intoxiquer les abeilles.
- La perte de diversité génétique conduirait à l’affaiblissement de l’espèce.
- Une mouche parasite pondant dans l’abdomen des abeilles et les faisant mourir.
-L’utilisation de produits chimiques, la pollution et les champs électromagnétiques pouvant affaiblir l’abeille, la désorienter ou modifier son métabolisme.
Les pesticides et insecticides sont incriminés, soupçonnés de désorienter et d'affaiblir les insectes.
L'INRA est parvenue à identifier un insecticide comme étant à l’origine de la disparition de certaines abeilles.
Il s'agit d'un produit de la famille des néonicotinoïdes.
Les néonicotinoïdes sont une classe d'insecticides agissant sur le système nerveux central des insectes avec une toxicité inférieure chez les mammifères. Les néonicotinoïdes sont parmi les insecticides les plus utilisés à travers le monde.
Plusieurs études scientifiques ont souligné l'impact négatif de cette famille sur les abeilles et bourdons en laboratoire et lors de tests en conditions contrôlées ; et de nombreux apiculteurs mettent en cause ces molécules pour expliquer le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles. Au-delà des seuls butineurs, les néonicotinoïdes sont soupçonnés de nuire à l'ensemble des êtres vivants vertébrés ou invertébrés, comme le montre une étude publiée en juin 2014.
Pour parvenir à établir la nocivité de l’insecticide, les chercheurs ont divisé le groupe d’abeilles en 2 puis lesont relâchées à un kilomètre de la ruche.
Le premier groupe a reçu une solution sucrée contenant l’insecticide.
Le retour à la ruche par les abeilles exposées à l’insecticide était bien moins élevé, les insectes ne retrouvant pas le chemin du retour.
L’insecticide aurait ainsi perturbé l’orientation des abeilles, les rendant incapables de retrouver la ruche et les condamnant à mort par la même occasion.
Le deuxième groupe a reçu une solution sucrée sans insecticide.
Le taux de retour était normal.
Le phénomène prend la forme de ruches subitement vidées de presque toutes leurs abeilles, généralement à la sortie de l'hiver, plus rarement en pleine saison de butinage.
Aux États-Unis, près de 25 % du cheptel a disparu au cours de l'hiver 2006-2007.
De nombreux pays européens sont touchés depuis le début des années 2000.
Les pertes peuvent atteindre, localement, jusqu'à 90 % des colonies.
Les taux de mortalité hivernale des ruches d'abeilles domestiques, mesurés depuis l'apparition du phénomène sont quasi systématiquement supérieurs aux taux d'environ 10 %, observés auparavant.
En Europe, des apiculteurs ont désigné les pesticides systémiques comme les principaux responsables du phénomène dès 1995.
A partir de 1999, l'interdiction en France et en Europe de certains pesticides incriminés n'a pas eu d'effets mesurables sur le terrain, les mortalités demeurant inchangées.
La thèse d'un phénomène multifactoriel fait maintenant l'objet d'un consensus.
Mais, en attendant, nos abeilles continuent à disparaitre !
Le Bois de Chez Dary est un espace boisé classé composé de plus de 200 chênes pédonculés centenaires, fort connu et apprécié dans la commune de Saint-Yrieix-sur-Charente et ses alentours.
Depuis début juillet 2014, l’accès à ce bois est interdit par arrêté municipal car la mairie estime que l’état sanitaire des arbres représente un danger. Cette décision fait suite à une expertise de l’ONF (Office Nationale des Forêts) commandée par la municipalité de Saint-Yrieix-sur-Charente qui a abouti à un rapport préconisantl’abattage immédiat de 13 chênes malades, 10 en abattage de gestion et 180 chênes sains à titre de précaution et dans un souci d’économie.
En effet, ces 180 chênes seraient, selon le technicien de l’ONF, condamnés à moyen terme et ce ne serait donc pas rentable pour la municipalité de les entretenir en les élaguant régulièrement (tous les 3 ans). La mairie estime que cet abattage est également nécessaire pour une raison de sécurité, le rapport de l’ONF laissant entendre que les chênes seraient susceptibles de chuter même sans vents violents.
Bien sûr, il nous paraît évident que les arbres jugés à risque (23) doivent être abattus ainsi que ceux à proximité immédiate des maisons d’habitation, quant aux autres dont la dangerosité n’est pas démontrée mais est subitement mise en exergue par la municipalité, un élagage serait nécessaire mais uniquement tous les 5 à 7 ans.
Il est évident qu’un bois tel que celui-ci n’est pas rentable économiquement parlant… Sauf si des lotissements se construisent à la place… Mais sa valeur est tout autre. C’est un patrimoine naturel, une trace du passé qui a également une valeur sentimentale pour tous les riverains et les usagers de cet espace boisé et en plus, il limite la pollution et les nuisances sonores et visuelles.
Nous, un groupe de riverains opposé à cette destruction massive, jugeons que cette décision fait totalement abstraction de toute considération environnementale : respect de la faune, de la flore et de l’aspect patrimonial que représente le Bois de Chez Dary. De plus, l’expertise de l’ONF nous apparaît considérablement orientée et ne repose pas, selon nous, sur des éléments concrets et non-discutables. Cette impression a été renforcée par le diagnostic de professionnels du bois après leur visite des lieux jugeant la feuillaison dense et l’aspect général des arbres tout à fait sain. Ces éléments laissent penser, selon eux, que ce bois a encore de belles années devant lui
Pour éviter la disparition brutale de ce bois, nous recherchons le soutien de la population par le biais de cette pétition et de plusieurs associations (Charente Nature, la Société Française d’Arboriculture…). De plus, nous voulons que l’arbitrage de cette décision soit effectué par des organismes étatiques et nous comptons poursuivre notre action tant que nous n’aurons pas obtenu de la municipalité la réalisation d’une contre expertise effectuée par un expert forestier reconnu et indépendant et ceci, avant toute prise de décision précipitée ou action irrémédiable.
La Première Guerre mondiale crée une rupture historique par sa violence, sa durée et sa dimension internationale, elle marque la fin d’une époque.
La Première Guerre mondiale crée une rupture historique par sa violence, sa durée et sa dimension internationale, elle marque la fin d’une époque.Pour faire face aux drames humains engendrés par ce conflit, l’Etat décide de créer l’Office national des mutilés et réformés de la guerre, dès 1916, puis l’Office national des pupilles de la Nation et enfin l’Office national du combattant pour prendre en charge les réparations, la rééducation professionnelle et la solidarité en faveur des victimes de guerre et des anciens combattants.
Ces administrations spécifiques se développent en partenariat avec les associations du monde combattant, qui se multiplient après guerre, et s’organisent pour mieux défendre leurs droits, secourir et soutenir socialement leurs membres. Car, en 1918, la fin de la «Grande Guerre» laisse derrière elle plus de 20 millions de blessés et d’invalides dont certains, gravement mutilés, ne peuvent plus travailler.Ainsi, dans l’immédiate après-guerre, toutes les énergies sont mobilisées par la reconstruction qu’elle soit économique, humaine ou matérielle et, outre les dispositifs mis en place par l’Etat, naissent des initiatives de solidarité privées ou associatives de toutes sortes.
C’est dans ce contexte que le Bleuet de France voit le jour.
Il s'agit d'une plante annuelle, basse, charnue, qui croit sur des sols riches en sel marin. Elle est constituée de rameaux cylindriques qui semblent articulés et sont terminés par un épi fertile.
Les feuilles sont réduites à des gaines opposées deux à deux.
L'une de ces plantes, Salicorna europaea. est présente dans les zones tempérées de tous les continents. Haute d'environ 20 cm, elle est répandue en France sur toutes les côtes maritimes dans les marais salés. Ses pousses tendres sont comestibles.
Confites dans du vinaigre, elles sont consommées comme hors d'œuvre, ou bien en omelette ou dans les salades.
On peut aussi les préparer comme des haricots verts.
On s'en sert encore aujourd'hui pour produire de la soude végétale, qui était autrefois utilisée pour la fabrication du savon et qui entre encore aujourd'hui dans la composition du savon d'Alep.
La soude servant à la production de verre, provenait de la combustion de la salicorne. Aussi, au xive siècle, on raconte que les verriers déplaçaient leurs ateliers en fonction des zones de pousse de cette plante herbacée si étroitement liée à leur métier.
Autres noms communs :
salicot, passe-pierre, criste-marine, perce-pierre, haricot de mer, cornichon de mer. Ces plantes n'ont pas de réelle importance économique.
Cependant, on en trouve plus souvent qu'autrefois sur les marchés ou chez les poissonniers
LE SAVIEZ-VOUS ?
Dans le calendrier républicain français, le 12e jour du mois de THERMIDOR est dénommé jour de la Salicorne.
Le Héron cendré (Ardea cinerea Linnaeus) est une espèce d' oiseau appartenant à la famille des Ardeidae.
Morphologie
Le héron cendré se caractérise par un long cou, un bec long et pointu et de longues pattes. Il possède une excellente vue panoramique latérale et une très bonne vision binoculaire frontale.
Son ouïe, également très développée, le fait réagir au moindre bruit suspect.
Il atteint en général95 cm de hauteur et une envergure de 1,85 m pour un poids de 1,5 à 2 kg.
Le héron cendré présente un plumage à dominante grise.
Les jeunes ont un plumage plus terne : leur dos est gris-brunâtre, leur cou est gris et leur ventre est blanc rayé noir. Ils n'ont pas de "huppe". Les jeunes hérons acquièrent leur plumage d'adulte à l'âge de deux ans.
Le Héron cendré peut vivre 25 ans mais des individus n'atteignent même pas un an.
Chez le héron cendré, il est très difficile de distinguer les sexes : la femelle a simplement un plumet un peu plus court.
Comportement
Le vol du héron cendré est lent, avec le cou replié. Ceci est caractéristique des hérons, à l'opposé des cigognes, des grues et des spatules qui étendent leur cou en volant. Apparemment lent, il va tout de même à 45 kilomètres à l'heure. C'est un migrateur partiel qui ne se déplace généralement pas au-delà de 500 kilomètres; le héron a un territoire peu étendu. Certains sujets demeurent même sédentaires.
Alimentation
Le héron cendré se nourrit le plus souvent de poissons, mais il n'est pas exclusivement ichtyophage.
En effet, son régime alimentaire est également composé de batrciens, reptiles, crustacés, petits mammiifères, oiseaux et végétaux
Le héron cendré ne néglige pas non plus les insectes et les mollusques terrestres et aquatiques.
Il peut digérer les arêtes mais il n'en est pas de même pour les poils de rongeurs qu'il rejette sous forme de pelotes. Ce régime alimentaire varié permet à l'espèce d'exploiter différents milieux, cours d'eau et plans d'eau, marais, zones humides, prés, et même des espaces verts urbains.
Quand il chasse, le héron cendré peut demeurer longtemps immobile, le cou dressé, en attendant le passage de sa proie.
Lorsqu'elle passe à portée de son bec, il s'en saisit rapidement en projetant vers l'avant la partie supérieure de son cou.
Comportement social
Le héron n'a guère d'ennemis, d'autant qu'il est protégé depuis 1974.
Il est même capable de vivre près de l'homme et peut ainsi être vu en pleine ville à proximité des plans d'eau et cours d'eau urbains.
En milieu urbain, sa distance de fuite est considérablement raccourcie et il peut parfois se laisser approcher à quelques mètres.
Souvent solitaire ou en petits groupes lâches, il forme néanmoins des colonies lors de la reproduction.
Le cri est un fort croassement : « fraaank ».
Reproduction
Les hérons cendrés se reproduisent de février à juillet. Ils nichent généralement en colonies, appelées héronnières, au sommet des arbres, aux bords des lacs et des rivières.
Les hérons y construisent un nid plat, en forme de plate-forme, où la femelle viendra pondre de 3 à 6 œufs bien clairs, cependant ce nombre peut être largement dépassé voire doublé. Ces œufs vont être couvés alternativement par les deux parents pendant 25 à 28 jours. A mesure que les petits grandissent, leur appétit devient tyrannique et les deux parents doivent pêcher sans relâche, chacun de son côté. Les jeunes prennent leur envol vers 50 jours et quittent le territoire des parents au bout de 8 à 9 semaines.
Répartition et Habitat
Grand échassier solitaire (en dehors de la période de nidification), le héron cendré se perche communément dans de grands arbres le long des étangs.
Il fréquente tous les milieux humides et peu profonds.
Voici Jeannot, le seul lapin de Garenne que j'ai pu apprivoiser.
Allez y comprendre quelque chose !
Après deux jours de présence, j'étais le seul à pouvoir l'approcher lorsqu'il sortait de la haie qui bordait la dune, mais accroupi, sinon, il rentrait en un seul bond.
D'autres campeurs ont essayé mais sans succès.
Deux ou trois jours de plus et je pense que je pouvais l'inviter à ma table mais en attendant, j'ai pu lui mettre l'objectif de l'appareil sous le nez sans qu'il bronche.
Grande aigrette et aigrette garzette ? On ne peut pas les confondre !
Grande aigrette Aigrette garzette
80 à 104 cm 55 à 65 cm
Bec jaune Bec sombre
Et d'autres caractéristiques mais celles-ci sautent d'emblée aux yeux.
GRANDE AIGRETTE
AIGRETTE GARZETTE
L'Aigrette garzette (Egretta garzetta) appartient à la famille des Ardeidae.
Description
Elle est entièrement blanche et est parfois appelée héron blanc.
Elle est de taille moyenne (longueur de 55 à 65 cm ; envergure de 90 à 105 cm). Son bec noir légèrement gris bleuté à la base et ses pattes noires aux doigts jaunes la rendent facilement identifiable.
En période nuptiale, elle porte sur la nuque deux longues plumes fines (20 cm), les aigrettes, d'où elle tient son nom.
Habitat
L'Aigrette garzette se rencontre dans toutes les zones humides aux eaux peu profondes avec une prédilection pour les eaux saumâtres.
Reproduction
L'Aigrette garzette niche en colonie, souvent avec d'autres Ardéidés, dans les arbres, où elle construit un nid fait de roseaux et de brindilles.
On voit parfois des colonies au sol dans des roselières.
La ponte constituée de 3 à 5 œufs bleu verdâtre a lieu entre fin avril et début mai.
Le couple couve alternativement pendant une période de 21 à 25 jours.
Les parents nourrissent les jeunes durant une quarantaine de jours avant qu'ils ne quittent le nid pour s'envoler au bout de 5 semaines.
Répartition
Elle est présente en Europe du Sud, sur tout le pourtour méditerranéen jusqu'en Afrique subsaharienne.
Généralement migratrice, la majeure partie de la population hiverne en Afrique mais une partie est aussi présente en France et en Espagne.
L'espèce a fortement progressé ces dernières années, en colonisant massivement la façade atlantique française (60 % de l'effectif nicheur français en 2000).
Elle a niché pour la première fois en Irlande en 1997 (12 à 55 couples de 1997 à 2001) et en Grande-Bretagne en 1998 (68 à 77 couples en 2000).
Elle se reproduit également au Moyen-Orient, notamment en Turquie.
Sensible au froid, ses effectifs diminuent fortement après les vagues de froid dans le nord de son aire de répartition, où certains oiseaux ont cependant tendance à se sédentariser.
Régime alimentaire
L'Aigrette garzette se nourrit de petits poissons, de lézards, de grenouilles, d'insectes aquatiques et de petits crustacés.
Elle était naguère très recherchée pour son plumage par les chapeliers.
Sans squelette, ni cerveau, dépourvue de poumons et de sang, la méduse est un être mou sans queue ni tête, sans droite ni gauche, rangé au début de la classification zoologique, juste après les éponges.
Réaction anthropomorphique oblige, la description va être rapide, pensez-vous, si on ajoute à tout cela qu’elle est composée à plus de 98 % d’eau, et bien détrompez-vous ! Ces éléments, ou plutôt ces absences d’éléments, confèrent à la méduse bien des particularités…
Ni vertébré à squelette, ni crustacé à carapace, ni mollusque à coquille, la méduse est simplement formée d’un derme tapissé de muscles circulaires striés au niveau de l’ombrelle et de muscles radiaux au niveau des tentacules.
Les muscles circulaires sont très puissants et lui permettent de se propulser.
En ce qui concerne les tentacules, souvent en multiple de quatre, ils sont extrêmement contractiles et peuvent s’étirer jusqu’à dix fois le diamètre de l’ombrelle.
Pas de cerveau, mais un formidable réseau de cellules nerveuses et de fibres, qui ont même servi de modèle aux scientifiques pour l’étude et la compréhension du passage de l’influx nerveux.
Pas de poumons ni de sang, mais un système de respiration basé sur les échanges gazeux à travers la peau.
Ni droite ni gauche ?
Sa symétrie radiaire par rapport à l’axe central qu’est le manubrium, la distingue des autres animaux à symétrie bilatérale.
Mais, si elle n’a pas d’orientation, la méduse possède en revanche des organes de sens : des yeux ou ocelles, plus ou moins complexes selon l’espèce et des organes d’équilibration, les statocystes, qui captent les changements d’orientation grâce à un système de cellules ciliées.
Chez les méduses les plus évoluées, ces deux types d’organes sont regroupés en un organe unique, la rhopalie, qui est même dotée d’une fossette olfactive.
Rangée en début de classification, la méduse a un pouvoir urticant qui lui vaut sa place dans l’embranchement des Cnidaires, du grec « knidé » qui veut dire ortie.
Les cellules urticantes sont régulièrement réparties sur l’ectoderme des tentacules ou groupées en bouton, en anneau ou en ligne.
Elles sont vitales pour la méduse puisqu’elles constituent son arme de pêche… à la traîne ! mais aussi un moyen de défense efficace pour contrer l’absence de carapace.
Une bouche et un estomac !
La méduse est un animal carnivore.
Sa bouche* s’ouvre à l’extrémité libre du manubrium et donne directement accès à la partie centrale de l’estomac, celui-ci se prolongeant par rayonnement dans l’ombrelle, à l’image des baleines d’un parapluie.
Ces prolongements, ou canaux radiaires, se déversent dans un canal circulaire marginal, faisant le tour de l’ombrelle.
Les produits de la digestion circulent des canaux radiaires jusqu’au canal marginal, puis, le courant s’inverse et les produits d’excrétion sont ramenés vers la bouche par où ils sont expulsés, sous forme de pelotes de mucus. L’estomac de la méduse est aussi lié à la fonction de reproduction, ce qui est caractéristique des organismes primitifs.
L'Avocette élégante (Recurvirostra avosetta) est la seule espèce d'avocette vivant en Europe.
Description
Les adultes ont un plumage blanc sauf un capuchon noir et des marques noires sur les ailes. Ils ont un bec long et incurvé vers le haut et de longues pattes bleues.
Les juvéniles sont de couleur marron là où les adultes portent du noir, et la partie blanche est souvent parsemée de taches grises.
Habitat
Les avocettes fréquentent les estuaires, les baies, les marais salants et autres zones humides.
Elles se nourrissent de crustacés, de larves et de vers grâce à leur bec long, effilé et sensible, qui leur permet de sonder la vase pour les retrouver.
Reproduction
Les avocettes nichent sur le sol, souvent en petits groupes, parfois avec d'autres espèces.
Entre 3 et 4 œufs sont pondus, une fois par an, dans une cuvette remplie de débris végétaux.
Elles nichent en Europe tempérée et en Asie proche ou centrale.
L'espèce est migratrice et la plupart des oiseaux passent l'hiver en Afrique ou en Asie du sud. Quelques-unes hivernent en France, en Espagne ou dans le sud de l' Angleterre.
Caractéristiques
Taille : 42 à 45 cm
Envergure : 77 à 80 cm
Poids : 250 à 400 g
Longévité : 25 ans
Protection
L'Avocette élégante bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire. Elle est inscrite à l'annexe 1 de la directive Oiseaux de l'Union européenne.
Il est donc interdit de la détruire, la mutiler, la capturer ou l'enlever, de la perturber intentionnellement ou de la naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les oeufs et les nids et de détruire, altérer ou dégrader leur milieu.
Qu'elle soit vivante ou morte, il est aussi interdit de la transporter, colporter, de l'utiliser, de la détenir, de la vendre ou de l'acheter.
Très agressives lorsqu'elles ont leur nid et leurs petits, elles n'hésitent pas à s'attaquer à tout intrus, même s'il s'agit d'un être humain.
Lorsqu'elles ne couvent pas, elles sont particulièrement farouches et il faut de longues heures de patience pour pouvoir les approcher.
L'échasse blanche(Himantopus himantopus) est une espèce d'oiseau échassier appartenant au groupe des limicoles et à la famille des recurvirostridae.
Description :
Cet oiseau a de longues pattes roses, un long bec fin et noir. Il est surtout blanc avec une calotte et un dos sombre. Les adultes mesurent de 33 à 36 centimètres de long.
Ses longues pattes roses permettent à l'Échasse blanche de patauger en eau profonde, tout en recueillant sa nourriture en surface.
Nourriture
Ces oiseaux se nourrissent principalement d'insectes et de mollusques pris sur la vase, le sable, la végétation ou l'eau.
Habitat
Cette espèce fréquente les étangs bordés de roseaux, les champs inondés, les rizières, les salines, les lagunes et, moins souvent, les estuaires.
Reproduction :
Le nid est un creux dans la vase ou le sable, souvent sur des îlots, en eau peu profonde. Il est garni d'herbes ou de feuilles. 3 à 4 œufs sont déposés en une ponte d'avril à juin.
Protection
L'Echasse blanche bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis 1976. Il est donc interdit de la détruire, la mutiler, la capturer ou l'enlever, de la perturber intentionnellement ou de la naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les oeufs et les nids et de détruire, altérer ou dégrader leur milieu.
Qu'elle soit vivante ou morte, il est aussi interdit de la transporter, colporter, de l'utiliser, de la détenir, de la vendre ou de l'acheter.
Toutefois depuis octobre 2009, ces interdictions ne s'appliquent plus aux oiseaux nés et élevés en captivité.
Cet échassier est facilement reconnaissable en vol du fait de ses longues pattes rouges qui traînent à l'arrière du corps.
Pourtant très sauvage et méfiante, ne se laissant pas approcher, l'échasse blanche fait parfaitement bon ménage avec les mouettes rieuses.
Mais pour le photographe amateur, cela signifie des heures de "planque" avant de pouvoir la surprendre.
L'Ibis sacré (Threskiornis aethiopicus) est une espèce d'oiseau de la famille des Threskiornthidae qui comprend les ibis et les spatules
Il vit en Afrique sub-saharienne, en Irak et autrefois en Egypte, où il était vénéré et souvent momifié comme symbole du dieu Thot.
Pour les Egyptiens, il était le symbole du savoir et de la religion.
Il a été introduit involontairement en France depuis le début des années 1990 à partir du parc de Branféré, dans le Morbihan.
Des populations férales, issues d'échappés de captivité, de cet oiseau sont présentes en Bretagne, notamment dans le golfe du Morbihan, en Ille et -vilaine, dans l'estuaire de la Loire et les marais de Guérande et sur l'Ile de Ré.
Des oiseaux sont également observés dans l'estuaire de la Gironde et aussi dans l'Aude.
Description
L'ibis sacré est un oiseau de taille moyenne, de 65 à 75 cm, d'une envergure de 112 à 124 cm et d'une masse allant de 1 250 à 1 500 g.
Son plumage est blanc, à l'exception de l'extrémité des ailes et du bas du dos, de couleur noire.
Sa tête nue est également noire.
Ses pattes sont palmées.
Il possède un long bec recourbé très caractéristique.
Le dimorphisme sexuel est absent.
En revanche, les jeunes sont très facilement reconnaissables par la présence de plumes sur la tête et le cou qu'ils perdront vers l'âge de deux ou trois ans.
Espèce invasive ?
Cette espèce se serait échappée du Parc de Branféré.
Une autre population commence à se développer sur le pourtour méditerranéen, notamment en Camargue.
Plusieurs cas de prédation par les Ibis ont été observés sur des colonies d'autres espèces, notamment Sterne et Guifette noire.
Dans certaines colonies, un grand nombre de pontes ont été ainsi détruites.
Les Ibis attrapent également les poussins.
Les gestionnaires d’espaces protégés (SEPNB, LPO, PNR, ONCFS...) s'accordent aujourd'hui pour « considérer que l’expansion de cette espèce introduite pose un problème de conservation du patrimoine naturel », et qu’une intervention est nécessaire. La prolifération des espèces exotiques envahissantes représente aujourd'hui la seconde cause mondiale de perte de biodiversité après la destruction des habitats.
Une campagne de régulation a été lancée en Loire-Atlantique et dans le Morbihan.
Mais en 2013 une étude du CNRS, de l'Unité de recherches Ecobio de Rennes, montre que non seulement l'ibis sacré n'est pas une menace pour d'autres espèces, mais qu'elle favorise certaines espèces comme la spatule blanche et la limitation du développement de l'écrevisse de Louisiane, une espèce considérée comme invasive.
Cette étude démontre que la campagne d'éradication des ibis sacrés est infondée.
Toutes les photos des articles sont réalisées avec un Panasonic Lumix F 28, objectif Leica 25-600 mm ou avec un Canon EOS 600 D objectif Sigma 500 mm avec multiplicateur de focale de 1.4.
Goélandest un terme générique désignant une trentaine d' espèces d'oiseaux marins de la famille des laridés appartenant au genre larus, comprenant également des mouettes.
Sur les côtes européennes, l'espèce la plus commune est le goéland argenté dont les populations sont en régression depuis la fermeture progressive des décharges à ciel ouvert.
Désignation et étymologie
En réalité, il n'y a guère que la langue française pour faire cette distinction de nomenclature entre « mouettes » et « goélands ».
Pour simplifier, dans la nomenclature, un goéland est une grosse mouette, et inversement.
L'opinion la plus communément admise est que le français goéland est un emprunt au breton gwelan ou gouelañ qui désigne effectivement les goélands et signifie « pleurer ». Ce qui décrit précisément le chant de cet oiseau.
Description
Ce sont des oiseaux de taille moyenne ou grande, généralement gris ou blancs, avec souvent des marques noires sur la tête ou les ailes. Ils ont un bec long et épais, des pieds palmés.
A l'inverse des mouettes, ils ne plongent pas.
Les pattes sont de couleur verte, jaune, rose ou rouge.
Les juvéniles ou immatures, souvent nommés "grisards", ont un plumage mêlant le brun, le beige, le gris et le blanc.
Ils mettent de deux à quatre ans pour acquérir, progressivement, le plumage adulte complet.
Alimentation
La plupart des goélands sont omnivores, se nourrissant d'animaux et parfois de charognes.
Certaines espèces de Goélands sont capables de digérer des os de taille considérable.
GOELAND BRUN
La deuxième espèce est le goéland brun qui s'aventure peu à l'intérieur des terres et se distingue par une bande alaire beaucoup plus sombre.
On le confond souvent avec le goéland marin, ou grand goéland qui ne s'éloigne jamais beaucoup des zones de reproduction et dont la taille est nettement plus importante.
Toutes ces espèces cohabitent, même avec les mouettes rieuses.
Le bec, jaune, est orné d'une tache rougeâtre destinée à guider les petits vers la nourriture.
En vol, ces oiseaux de grande envergure, savent très bien utiliser les courants d'air marins et planent sans effort.
Le ballet des goélands est un grand spectacle, surtout lorsqu'ils sont nombreux.
Dans les marais de Guérande, on trouve aussi des goélands entièrement blancs.
D' après les baguages effectués sur ces oiseaux, il semble qu'ils proviennent du Puy du Fou.
Il faut bien dire que je les nourris, au grand dam de mes voisins.
Le soir, vers 19 heures, ils se rassemblent autour des agrainoirs pour ne les quitter que tard dans la nuit et ne laisser, comme traces de leurs passage, qu'un sol retourné où pas un brin d'herbe ne pousse.
Le site de Verzy, en Champagne, près de Reims, appartient à l'ONF et reçoit des centaines de milliers de visiteurs par an, menaces pour la survie de la variété.
Le chemin forestier a été dévié pour diriger le flot des visiteurs.
La contrainte modérée apportée par le plan de protection est justifiée par le plaisir de transmettre ces beautés naturelles aux générations futures.
Des panneaux explicatifs ont été posés et sensibilisent les promeneurs à l'importance de la sauvegarde d'un tel patrimoine naturel.
Mais qu'est-ce que les faux de Verzy ?
Le mot « fau » désignait le hêtre en ancien français (pluriel : faux, diminutif : fayet, fayard, foyard) ; il dérive du latin fagus, tandis que le terme « hêtre » est d'origine germanique.
Le fau ne dépasse pas quatre à cinq mètres de haut.
En été, il étale ses feuilles en un parasol très dense, pouvant aller jusqu'à former une sorte d'igloo de feuilles.
En hiver, son architecture tourmentée se dévoile : troncs et branches tordus, coudés, torsadés, branches terminales retombant jusqu'au sol.
Ces arbres donnent ainsi leur nom au site touristique situé en France au nord-est de la Montagne de Reims où l'on trouve la plus grande concentration mondiale de hêtres tortillards estimée à environ un millier d'individus.
Les faux de Verzy, sont protégés, en particulier depuis qu'un sentier aménagé permet de les admirer, protégés par des barrières en rondins, sans que le piétinement leur soit nuisible. Une réserve clôturée permet de préserver une partie du peuplement.
Avec plus de 1 000 faux, la Forêt Domaniale de Verzy est la principale réserve mondiale de faux.
Les moines les auraient multipliés par marcottes et transplantés en forêt pour faire un véritable « jardin botanique ». Ces grands voyageurs auraient, selon Y. Bernard, rapporté ici un précieux plant d'une région de l'est qu'ils évangélisaient.
Un hêtre tortillard nommé l'« arbre des Dames » ou « Le Beau Mai » se trouvait au sud de Domrémy, déjà centenaire à l'époque de Jeanne d'Arc ; il était vénéré pour sa beauté et faisait l'objet d'un culte rustique : une procession s'y rendait chaque année pour chasser les mauvais esprits.
Lors du procès de réhabilitation de Jeanne d'Arc (1450-1456), onze témoins parlent de cet arbre comme s'il s'agissait d'une information essentielle (Georges H. Parent).
En se rendant avec Charles VII à l'abbaye de Saint Basle, Jeanne d'Arc serait montée dans les branches d'un fau à Verzy et s'y serait assise.
L'anecdote témoigne du fourmillement de légendes qui a entouré pendant des siècles ces hêtres tortillards, génétiquement modifiés, qui restent encore aujourd'hui un mystère pour les scientifiques.
C'est évidemment bien plus difficile en hiver lorsque seuls les troncs et les branches donnent quelques indications, mais en été c'est un régal.
Voici les feuilles des essences les plus répandues dans nos forêts.
Les noyers sont des arbres de grande taille, à feuilles caduques, glabres, alternes, imparipennées avec des folioles aromatiques de saveur amère et astringente, à branches très ramifiées.
Sans doute le plus répandu en plaine.
Lescharmes sont des arbres pouvant mesurer jusqu'à 25 mètres, à feuilles marcescentes, alternes, petites, simples, avec le bord du limbe finement denté.
Feuille très particulière dont les bords inférieurs du limbe sont décalés sur la nervure centrale.
L'orme a pratiquement disparu d'Europe de l'Ouest en raison de la graphiose. Le développement de cultivars résistants fait l'objet de recherches intenses depuis les années 1960.
Les peupliers sont de grands arbres à feuilles simples, alternes, cordiformes ou triangulaires, caduques, ovales, acuminées, à long pétiole comprimé.
Les feuilles des acacias sont composées de nombreuses paires de folioles, mais certaines espèces développent des phyllodes.
Quelques-unes, plus rares, n'ont pas de feuilles du tout et possèdent des tiges transformées en cladodes.
Leur position verticale assure une protection contre la déshydratation et la trop grande insolation.
L'aulnele plus commun en Europe de l'Ouest se distingue par ses feuilles largement ovales, crénelées-dentées, et ses jeunes pousses printanières collantes au toucher.
Le bord des feuilles de chêne est lobé, denté ou entier. Elles sont simples et alternes.
Lehêtre commun (Fagus sylvatica), couramment désigné simplement comme le Hêtre et parfois appelé fayard est un arbre à feuilles caduques, indigène d'Europe, appartenant à la famille des Fagaceae.
Le dessous des arbres se reconnait au tapis de feuilles mortes qui étouffe la végétation.
Caractérisé par des feuilles composées, le frêne est reconnaissable à ses grappes de samares simples surnommées localement « langues d'oiseau ».
Lesérables sont des arbres du genre Acer appartenant désormais à la famille des sapindacées (et autrefois à celle des acéracées), dans l'ordre des sapindales. Les feuilles opposées, pétiolées et palmatilobées, simples pour la majorité des espèces.
Lemerisier est parfois appelé cerisier sauvage ou cerisier des bois.
Les feuilles du marronnier sont caduques et opposées, grandes, munies d'un long pétiole, palmées, à 5 ou 7 folioles dentelées.
Lestilleuls sont des arbres à croissance rapide, pouvant atteindre 35 m de haut, aux branches assez largement étalées.
Le tronc présente une écorce lisse, se gerçant avec l'âge.
Les feuilles, caduques, sont simples, alternes, généralement en forme de cœur avec une longue pointe au bout et à bord denté. Les fleurs sont hermaphrodites, pouvant donc être à la fois de sexe féminin ou masculin.
Les feuilles du saulesont caduques, alternes, ovales ou lancéolées. Les fleurs sont réunies en chatons dressés, mâles ou femelles, portés par des pieds différents (plantes dioïques).