ASSASSINAT EN HAUTE MER.
Six otaries indigènes d'Afrique australe ont été mystérieusement "poignardées", se sont noyées puis échouées sur une plage de la péninsule du Cap, a annoncé ce jeudi la municipalité, dénonçant ce "terrible rappel de l'impact de l'homme sur la faune côtière".
Il y a sans doute une raison ! Reste à savoir si elle est recevable !
Les otaries à fourrure du Cap, mesurant autour de deux mètres pour un poids généralement situé entre 200 et 300 kg, vivent en colonie et s'éloignent rarement du rivage.
Consommant beaucoup de poissons pour leur subsistance, elles sont mal vues des pêcheurs qui parfois les braconnent pour en réduire le nombre.
Décidément, l'appât du gain ferait faire n'importe quoi à n'importe quel humain qui sait pourtant bien que ces animaux, même mangeurs de poissons, sont indispensables à l'équilibre écologique.